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Lorsqu’on parle de cybersécurité, on pense généralement aux attaques telles que les virus, les logiciels malveillants et les ransomwares, qui sont souvent spectaculaires et font la une des journaux. Cependant, ces attaques ne sont que la partie émergée de l’iceberg de la cybercriminalité. En effet, il existe un type d’attaque qui est souvent ignoré, c’est le vol de code. Selon une étude réalisée par Thales en 2020, 30 % des revenus de la cybercriminalité sont liés au vol de propriété intellectuelle. Parce que le développement d’une application demande du temps, de l’argent et des ressources, on s’attend à ce qu’elle génère des revenus et fasse croître l’activité de la société de développement. Le code source est donc votre principal atout et s’il est volé ou copié, vos revenus et votre réputation seront compromis.
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L’utilisation généralisée des appareils connectés pose plusieurs défis en matière de cybersécurité. La plupart d’entre nous connaissent les attaques très médiatisées menées avec des logiciels malveillants et des ransomwares, mais au-delà de la question de la sécurité des données, ces attaques peuvent également poser des problèmes de sécurité personnelle ainsi que de propriété intellectuelle. La nécessité de se protéger n’est donc plus à démontrer, alors que faire ? QShield a été conçu pour répondre aux défis de la sécurité de l’IoT, voici ce que vous devez savoir.
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Les logiciels malveillants sont devenus si omniprésents et si destructeurs que même des actions aussi banales que le démarrage de votre ordinateur ou l’ouverture d’un e-mail représentent un risque pour la cybersécurité. À l’heure où 92 % des données du monde occidental sont stockées aux États-Unis par l’intermédiaire de services en nuage, ce n’est pas seulement la sécurité de l’État qui est en jeu, mais les entreprises et les particuliers sont également exposés à des risques financiers, juridiques, de confidentialité et de propriété intellectuelle croissants.
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Il y a seulement 10 ans, personne ne parlait de la sécurité de l’IdO. Aujourd’hui, avec la prolifération des appareils connectés à Internet, la sécurité est devenue une préoccupation majeure tant pour les utilisateurs que pour les fabricants.Avec la fragmentation du marché de l’IoT, il n’existe pas de solution de sécurité standard. En effet, selon le cas d’utilisation et le niveau de protection requis, le matériel et les logiciels utilisés pour concevoir l’appareil varient, ce qui peut entraîner des problèmes d’interopérabilité. La sécurité est donc difficile à intégrer car elle doit être spécifique à chaque appareil et entraîne souvent des coûts matériels et/ou logiciels réduisant ou annulant la rentabilité du produit.
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Selon Global Data, le marché de l’IoT pourrait atteindre plus de 1 000 milliards d’euros d’ici 2024, soit une augmentation de 13% par rapport à 2020. Face à cette croissance, l’industrie a compris l’urgence de mettre en place des normes de sécurité via des organismes de régulation pour limiter les risques de cyber-attaques et autres fraudes. Dans ce contexte, l’identité des objets connectés est devenue un véritable enjeu de sécurité pour l’IoT afin de garantir la fiabilité des données collectées et de piloter les décisions.
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Les terminaux de paiement sont en pleine révolution ! Autrefois, ces objets étaient encombrants et monotones, mais ils ont évolué vers d’autres modèles flexibles et abordables. Tout d’abord, vous avez eu les points de vente autonomes qui ont popularisé les paiements par carte bancaire.
De plus en plus de systèmes de cartes de crédit nécessitent une connexion internet pour effectuer le suivi des transactions et les points de vente sont devenus des appareils connectés.
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La sécurité de l’IoT est une préoccupation croissante des fabricants qui doivent protéger leurs produits contre les attaques malveillantes susceptibles de compromettre leurs appareils et d’avoir des conséquences néfastes pour leurs utilisateurs. Cependant, »certaines attaques se concentrent sur le vol de programmes innovants. Les entreprises, notamment les startups, ont tendance à minimiser, voire à ignorer ce risque par manque de temps, de compétences et de fonds. Pourtant, la propriété intellectuelle est l’un des principaux actifs d’une entreprise et son vol peut compromettre l’avenir d’une entreprise.
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Si nous nous félicitons de l’innovation technologique et de l’accès généralisé aux nouvelles technologies, nous oublions souvent que ces avantages de l’innovation sont également accessibles aux cybercriminels de toutes sortes. Il n’a jamais été aussi facile d’utiliser des logiciels malveillants. Leurs évolutions rapides mettent à mal les services de sécurité informatique qui rencontrent des difficultés quotidiennes à suivre ce rythme intense d’apparitions de nouvelles menaces. Qu’est-ce qu’un logiciel malveillant et comment y faire face efficacement ?
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Lorsqu’il est question de dispositifs IoT, une question se pose : comment relever les défis de sécurité et protéger les flottes d’objets connectés ? De nombreux acteurs attirés par le fort potentiel de ce marché connectent leurs équipements et placent des capteurs dans les bâtiments, les équipements industriels ou encore dans les véhicules. Ces entreprises collectent et agrègent d’énormes quantités de données pour la maintenance prédictive, l’optimisation des processus, les économies d’énergie, les machines et véhicules autonomes, etc….
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Réfrigérateurs, voitures, smartphones… Les logiciels sont partout et se répandent et en faisant circuler non seulement l’information et les données, mais aussi les savoir-faire !
A la fois le résultat d’années de travail (et surtout d’investissement financier) et générateurs de revenus et de croissance, ils sont exposés à un risque largement sous-estimé : la possibilité d’être copié ou volé.
La protection de la propriété intellectuelle des logiciels devient alors un enjeu essentiel pour le développement des innovations et la valorisation des assets de l’entreprise. Faisons le point sur la question.
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